Betreff: OMS/WHO . . .van Deventer |
Von: Next-up: Contact |
Datum: Sun, 16 Jul 2006 21:36:19 +0200 |
An: Iris Atzmon |
T. Emilie van Deventer received the Diplome Universitaire de Technologie from the Institut Universitaire de Technologie of Marseille, France, and the B.S.E., M.S.E. and Ph.D. degrees in Electrical Engineering from the University of Michigan, USA. She worked in the acoustic field for Bruel & Kjaer from 1982 to 1983. From 1985 to 1992, she was a research assistant in the Radiation Laboratory at the University of Michigan. In August 1992, she joined the University of Toronto as an Assistant Professor in the Department of Electrical and Computer Engineering where she holds the NSERC/Bell Canada/Nortel Junior Industrial Research Chair in Electromagnetics. Her research interests include the numerical modeling of microwave and millimeter-wave structures with application to EMC/EMI problems. Dr. van Deventer was awarded an URSI Young Scientist Fellowship in 1993.
Professional Activities:
Dr. van Deventer is the founder and current chairperson of the IEEE Joint Chapter on Electromagnetics and Radiation, including the Electromagnetic Compatibility, Antennas & Propagation, and Microwave Theory & Techniques Societies in the IEEE Toronto Section, and a member of Eta Kappa Nu and Tau Beta Pi. She chaired the Local Arrangements Committee for the General Assembly of the International Union of Radio Science, 13-21 August, 1999, held at the University of Toronto. She is a registered Professional Engineer in the Province of Ontario.
Next-up : Extrait de l'interview
d'Emilie van Deventer lors d'un débat sur le ligne électrique à 400 000
volts Lyon-Chambéry en France.
Champs
électromagnétiques : normes
respectées, pas de danger
De nombreuses
études ont été menées sur les champs électromagnétiques. L’OMS a lancé
en 1996 un projet international sur le sujet et coordonne depuis 2002
un programme d’évaluation des risques pour la santé. Emilie Van Deventer est revenue en détails sur
ces études, dont les résultats rassurants furent pourtant contestés
par le public.
Les champs électromagnétiques
suscitent des inquiétudes quant à leurs effets
sur la santé. Et l’apparition des téléphones portables
a amplifié la polémique. « Mais que l’on soit bien
tous d’accord : d’abord les CEM à haute fréquence (900-1800 mégahertz) des téléphones portables sont très différents
de ceux à très basse fréquence (50 hertz)
produits par une ligne à haute tension. Ensuite
il faut rappeler que, pour l’instant, aucun
effet sanitaire pour le corps humain n’a été établi pour des niveaux d’exposition en dessous des normes
internationales.
Toutes les études menées l’ont montré », a insisté l’attachée
scientifique à l’OMS.
De nombreuses études ont été effectuées tant en laboratoire que sur le terrain, en France et à l’étranger. « Toutefois aucune étude ne peut donner des réponses définitives ou complètes », a ensuite tempéré Emilie Van Deventer. En outre, une étude américaine de 1979 a signalé une association entre des cas de leucémie infantile et certaines caractéristiques du branchement électrique du logement des enfants atteints. Et une méta-analyse (analyse statistique des résultats de nombreuses études) réalisée en 1998 signale une association possible entre l’augmentation du risque de leucémie infantile et le fait de résider près d’une ligne de transport électrique.
D’où la décision de plusieurs organismes, dont le Centre international de recherche sur le cancer à Lyon (qui fait partie de l’OMS), de classer les CEM à très basse fréquence dans la catégorie des éléments probablement concérogènes pour l’homme. Une catégorie dans laquelle on trouve aussi les gaz d’échappement ou… le café. « Mais de la même manière que personne ne vous dit aujourd’hui combien de tasses de café maximum il faut boire chaque jour, il n’existe pas de normes internationales pour les CEM. »
Le projet lancé par l’OMS en 1996 est justement destiné à permettre l’harmonisation des normes entre les pays.
S'agissant de la gestion du risque, certains pensent qu’il y a assez d’incertitudes aujourd’hui pour que l’on puisse invoquer le principe de précaution.
Le public s’est montré très intéressé par cet exposé et n’a pas hésité à prendre position : « s’il y a tant d’incertitudes, pourquoi le principe de précaution n’est-il pas déjà appliqué ? Et si l’on ne connaît pas encore les effets des champs électromagnétiques, comment peut-on envisager d’instaurer des normes ? »
----- Original Message -----
From: Iris AtzmonTo: Infos ASLSent: Sunday, July 16, 2006 5:08 AMSubject: Re: OMS/WHO . . .
Marie, I want to make sure I read right: van Deventer told in an inerview that the problem is the electric fields because thehuman body is not about magnetic fields, and that there's a need to be exopsed to less than the human body's electric fields? and that the epidemiology studies show double risk for leukemia but on the basis of low numbers which is like1 child for all France?Marie, je veux m'assurer que je lis bien : van Deventer a dit dans un interview que le problème sont les champs électriques parce que le corps humain n'est pas receptif des champs magnétiques, et qu'il y a un besoin d'être exopsé moins que les champs électriques ? et que les études d'épidémiologie montrent le double risque pour la leucémie mais sur la base de bas nombres ce qui est comme 1 enfant pour la toute la France ?----- Original Message -----
From: Infos ASLSent: Sunday, July 16, 2006 12:58 AMSubject: OMS/WHO . . .
Diffusion restreinte ;Iris,c'est mal . . . parti !Emilie van Deventer :- Pas de preuves scientifiques
mais des indices épidémiologiques ! ! ! !
- Que préconise l'OMS ?
Comme il y a un doute, nous proposons de diminuer l'exposition, mais de ne pas toucher aux normes. ! ! ! ! !Bien à TousMarie Pierre